[MUSIQUE] Dans ce sixième module on est en train de discuter les interactions faibles, et dans cette cinquième séquence vidéo, on parlera des propriétés du boson W, qui transmet la force faible chargée et qui est responsable des désintégrations faibles. Après avoir suivi cette vidéo, vous vous rappellerez les couplages de W avec la matière et les forces, et vous connaîtrez sa masse et les manières de la mesurer. Dans le module 6.3 on avait déjà défini les couplages de W à la matière, qui sont ici montrés par ces deux vortex. Et dans le module 6.4, on avait passé en revue la méthode de mesurer la constante de Fermi pour le processus de transfert d'impulsion basse, c'est-à-dire un couplage beaucoup plus petit que la masse au carré de W. Reste à savoir maintenant comment on mesure la masse du boson W. Ceci est fait avec deux méthodes différentes qui ont une précision comparable. La première détermine la masse en mesurant le seuil en énergie pour la production des W en paires dans l'annulation, et les trons positrons Comme c'est montré ici par ces deux diagrammes de Feynman. On a déjà constaté que l'évolution vectorielle W et Z portent eux-mêmes une charge électro-faible, les W plus moins en charge électrique, et les W et les Z en iii faible. Par conséquent il existe des vortex d'interaction entre les bosons électro-faibles, qui sont montrés ici par ces deux diagrammes des vortex en bas, qui se comportent selon les constantes de couplage qui sont ainsi indiquées. Ces vortex fixent les valeurs des couplages électro-faibles d'une manière unique, en même pour les interactions entre bosons, et entre bosons et fermions. Les bosons chargés peuvent alors être produits en paires par l'annulation électron-positron. La forme et la position de la section de fixage au sol pour la réaction déterminent la masse du boson W, avec une bonne précision comme c'est montré dans ce graphisme à droite, qui est une mesure effectuée par l'expérience L3 au lab. La deuxième méthode consiste à mesurer les produits de la désintégration et de former la masse ambiante. Comme la masse est une variante relativiste, on a pas besoin de produire la particule au repos, et donc pour une une désintégration de deux corps à haute énergie, ceci revient à mesurer l'énergie et la direction des particules. Donc ici on montre un évènement de désintégration d'un W plus un positron plus neutrino électronique, vu par l'expérience Atlas au LRC, qui contient un positron de haute énergie, qui est montré par sa trace jaune dans le détecteur central, et les dépôts d'énergie jaunes dans la calorimètre. Le neutrino, qui est le deuxième produit de la désintégration W plus, ne laisse pas de trace dans le détecteur, mais se manifeste par son énergie impulsion manquante. Les balances de l'impulsion mettent un effet juste assuré dans le plan transversal au faisceau parce que les quarks et muons qui interviennent dans cette réaction ont une fraction X variable de l'impulsion des protons incidents. Néanmoins une analyse de la cinématique dans ce plan transversal permet d'arriver à une bonne précision pour la masse de W. Les résultats des deux méthodes sont en bon accord, et peuvent être moyennés parce qu'ils sont indépendants. Par rapport au Z, on constate que la précision que l'on attend avec la méthode de seuil de production et les produits des intégrations des fois moindres si l'on mesure la masse par production résonante. Dans la prochaine vidéo on parlera des propriétés du boson Z, qui transmet les interactions faibles neutres. [AUDIO_VIDE] [AUDIO_VIDE] [MUSIQUE]